PSPA
PSPA est actuellement à une date clé de son parcours : après une première implémentation, déjà bien fonctionnelle, mais pour l’instant surtout utilisée pour démo, il doit à court terme faire face à deux évolutions importantes :
- s’ouvrir à des utilisateurs en dehors du petit cercle actuel, et donc gérer une base d’utilisateurs, à la fois au point de vue de l’authentification et au point de vue des droits
- mettre en place un mécanisme de gestion des modules qui découple le plus possible un noyau stable de la prise en compte de ces modules (intégration, paramétrage et exécution). L’idéal serait de pouvoir ajouter un module « à chaud », sans recompiler ni même arrêter le noyau.
Toutes les expériences sur ces deux sujets sont les bienvenues, en particulier les expériences d’utilisation de modules open source qui faciliteraient l’implémentation de ces fonctionnalités dans PSPA.
Christian Arnault décrit l’approche de Nuxeo (utilisé pour Atrium), pour l’ajout de modules « via HTML » (écosystème POLYMER). Oleg fait part de son expérience pour Xtremweb d’authentification déléguée à Google par exemple ; la technologie utilisée est oauth, qui permet de demander à l’utilisateur à quelles ressources de son compte il autorise l’accès par PSPA (PSPA voudrait utiliser le google drive en l’occurrence). Le mode d’emploi du service d’authentification par Google est décrit dans le guide Identity Toolkit for Websites.
Personne ne connait de package de gestion de comptes disponible sur le marché. Christian Helft évoque Grouper, d’Internet2, peut-être un marteau-pilon pour l’usage visé.
Philippe décrit ce qui est envisagé pour ThomX, avec plusieurs grands groupes d’utilisateurs (vide, alimentations, etc). Il n’est pas encore bien défini à quoi serviront ces groupes (limitations d’accès ou personnalisation de l’interface utilisateur).
École informatique IN2P3
David présente la prochaine édition de l’école informatique IN2P3, fin mai au LLR. Voir la lettre informatique qui vient de sortir. Le thème est le parallélisme (sous plusieurs formes) sur des infrastructures matérielles variées, voire hybrides. À surveiller : le « run-time » HPX, qui a vocation à être intégré dans de futures versions de C++. Le lundi 23 mai, les intervenants vedette de l’école animeront une journée LoOPS, donc sur les mêmes thèmes mais évidemment en plus concentré (ou plus superficiel). Rappel : la prochaine journée LoOPS est consacrée à SPARK, la distribution de calculs selon Hadoop.