Réunion du 16 mai 2019

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Nouveaux arrivants

Marco a été embauché par l’université à la DSI et se formera sur des projets du laboratoire, notamment ceux autour de Spark. Il sera au LAL 4 j/semaine pendant 6 mois, puis 3j/semaine une fois recruté en CDI.  Il a été chercheur sur la physique des matières molles.

Deux apprentis ont été obtenus par le CNRS, un pour l’exploitation et un pour le développement. Concernant ce dernier, un candidat L3 de l’IUT a été reçu hier, et effectue actuellement un stage avant son début d’alternance dès fin juin. Il ferait son apprentissage sur le développement web en python : coding pool et PSPA

École programmation fonctionnelle

Cet automne, le LAL participe à l’organisation d’une ANF de programmation fonctionnelle au centre Jean Bosco (Lyon).

Le but (et l’originalité) de ce projet est d’aborder l’utilisation de ce modèle de programmation dans les environnements de programmation impératifs classiques de nos communautés.

La formation commencera par une introduction à la programmation fonctionnelle via OCaml, qui sera assurée par Gabriel Scherer de l’INRIA. Ensuite, ces bases étant posées, la formation se concentrera sur l’application aux langages plus couramment utilisés dans un cadre IN2P3, à savoir Python, C++, et les langages JVM (via Java et Scala).

Le but sera alors d’explorer dans quels cas l’application du paradigme fonctionnel peut être utile dans ces langages, et comment on le met en oeuvre dans ces environnements impératifs. Il sera possible d’effectuer les TPs dans deux environnements parmi les trois proposés.

Les intervenants sont :

  • Gabriel Scherer de l’INRIA pour l’introduction en OCaml
  • Julien et Sylvain Reynaud du CC pour la partie Java/Scala
  • Hadrien et David pour la partie C++
  • Antoine, Julien et quelqu’un d’autre pour la partie Python
  • Jean-René du CC
  • Alexandre Delanoë, ingénieur CNRS de l’ISPC (labo SHS), qui présentera son utilisation d’Haskell pour l’exploration des graphes de réseaux sociaux.

Nouveaux appels à projets Google

Cette année, le LAL participe de nouveau, via HSF, au Google Summer of Code. Pour rappel, il s’agit d’une sorte d’appel à projet où Google finance des étudiants pendant 3 mois estivaux pour travailler sur des projets open-source.

36 projets ont été présentés à HSF. L’un d’eux a été rejeté car l’étudiant n’était pas disponible pendant 3 semaines de la période convenue. Il existe une tolérance, mais elle se limite à une semaine, et nécessite un accord préalable du mentor et de l’organisation. Idéalement, la semaine en question doit bien sûr être rattrapée.

Nous participons également cette année à Google Season of Docs, un homologue de Summer of Code dédié à la documentation, sur un format temporel est plus long (3 ou 6 mois), et avec un financement cette fois facultatif. Le LLR ont recruté un collaborateur français par ce biais.

On peut se demander ce que Google gagne à financer ces projets. Plusieurs explications ont été proposées :

  • Une meilleure image de marque, important pour une entreprise championne de l’évasion fiscale et de la surveillance de masse.
  • Une visibilité sur des projets open-source intéressants, et sur d’éventuels candidats pour les embauches futures.

Bonnes pratiques en folie

De nombreuses discussions ont récemment eu lieu sur la liste DevLOG autour des bonnes pratiques de développement logiciel, sur des sujets comme la gestion des données personnelles et l’économie des ressources naturelles. Nous pouvons mentionner…

Ces guides ne sont bien entendu pas les seules activités des groupes en question. Par exemple, Green code lab accepte des contributions extérieures à son référentiel de bonnes pratiques, et participe à des études soutenues par l’ADEME sur l’impact écologique du surf web, y compris côté utilisateur. On y apprend par exemple que la stratégie de gestion de cache de Chrome était, en 2013, beaucoup plus énergivore que celles de Firefox et Internet Explorer.

En 2011, l’ADEME a aussi publié une étude évaluant l’impact carbone des courriers électroniques, en se basant sur la norme de l’époque des pièces jointes de 1 Mo. On peut penser que cette taille moyenne a sans doute augmenté depuis du fait de l’évolution des téléphones mobiles et de leurs appareils photo.

De son côté, ÉcoInfo organise des conférences dont les supports et enregistrements sont publiés en ligne.

Et sur le même sujet de l’environnement, on peut aussi mentionner le think tank « Shift Project », qui étudier l’impact environnemental d’activités humaines (dont les activités numériques, mais pas seulement).

Brèves

Justine travaille actuellement à une application de gestion des ressources humaines pour le laboratoire fusionné.

ThomX a besoin d’une base de données pour gérer ses pannes, et Antoine a commencer à développer un prototype. Il existait une infrastructure similaire pour ELI-NP, mais les évolutions requises pour l’adaptation à ThomX ne semblaient pas faisables.

Il y a une demande pour des outils graphiques pour gérer les conflits de fusion. De par leur nature graphique, ceux-ci sont généralement spécifiques à un système d’exploitation. Sous Linux, Hadrien utilise beaucoup Meld. Un regret exprimé par rapport à ces outils est qu’il n’est pas toujours facile de savoir quels sont les commits parents affichés par l’outil, ce qui oblige à faire des requêtes supplémentaires.

Idées pour une prochaine fois

  • Gérer l’identifiant de version d’un paquet Python avec « bumpversion ».
  • Créer une image Docker avec l’intégration continue du Gitlab du CC, ou les services d’intégration continue utilisables sous GitHub.
  • Effectuer une mise à jour de façon asynchrone sous Flask.
  • Nouvelles de LSST et Spark.
  • SQLAlchemy
    • Son ORM
    • L’outil Alembic pour gérer l’évolution de BdD

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